J'ai conscience de vivre dans un lieu privilégié : la côte landaise.
Après une journée de travail où nous avons sué toute notre eau tant la chaleur était étouffante, nous avons improvisé une sortie en bord de mer pour nous rafraîchir un peu.
Arrivée à 19h. Les touristes, déjà présents, quittaient la plage.
Au large, un orage éclatait, zébrant l'horizon de nombreux éclairs. Les surfeurs irréductibles, dont font partie mes 3 mâles, continuaient à jouer avec les vagues, le mauvais temps s'éloignant vers le nord.
La luminosité était métallique, baignée d'embruns. Le vif éclat des reflets du soleil aveuglait le regard.Et les chevilles de la jardinière, dévorées par les insectes, parce qu'elle garde la mauvaise habitude de jardiner en tongs dès les beaux jours...